Introduction

La main et l'outil

Gaucher et droitier utilisent les mêmes outils…

L’innovation et la technologie ne sont ni de droite ni de gauche. Ce sont des outils utilisables par tous …

La droite, peut-être avec parcimonie car, par définition, elle n’a pas vocation à bouleverser les positions acquises !

La gauche avec prudence pour ne pas détruire des emplois !

Qu’une innovation bénéficie à tout le monde ne sera jamais une question prédominante, sauf pour des écologistes.

La nouvelle technologie que le Groupe Equideus a mise au point permet de diviser par quatre la consommation des centrales électriques, de diviser par dix la consommation des mobiles, donc de réduire les coûts et la pollution.

  • Le centre de recherche de Bellegarde est organisé pour réaliser  les études d’applications…

Cependant, nous souhaitons en sous-traiter certaines avec des partenaires industriels ou chercheurs indépendants.

  • Nous y préparons les prototypes pour les industriels et pour les  artisans dont nous organisons les ventes.
  • Les industriels négocient des licences d’applications sur dossiers de plans d’exécutions  et prototypes de démonstration…

Mode d'emploi

Sur les items sur lesquels nous travaillons, nous mettons des mots de passe pour les isoler provisoirement.

Si pour l’un ou l’autre, vous avez besoin d’éclaircissements, présentez-vous et précisez votre demande (comprenez que si nous devions répondre en général, nous ne mettrions pas de mots de passe…)

Ce qu'on peut faire

A) Fabriquer l’électricité

  • changer la plupart des génératrices à vapeur par des turbines à gaz
    ainsi « on » économise trois quart du chauffage, c’est énorme.
  • L’entretien est divisé par dix, ça finit par faire des économies conséquentes
  • les turbines à air ou à l’azote sont moins massives, coûtent moins. Ça compte dans un budget
  • avec les nouvelles génératrices à air ou à azote, c’est très facile de fabriquer l’électricité sur les lieux d’utilisation.
  • tout industriel peut fabriquer sa propre énergie et en maîtrise le coût en choisissant le mode de chauffage : bois charbon, gaz, solaire géothermie etc..
  • chaque ménage peut aussi réduire ses dépenses en fabriquant lui-même tout ou partie de son électricité, il pourra aussi en revendre à EDF

Des conséquences…

  1. parce que l’on économise trois trains sur quatre par jour, l’utilisation du charbon pour les centrales devient plus écologique
  2. parce que l’on consomme quatre fois moins de produits chauffants, l’utilisation du solaire devient rationnel… d’autant que l’on sait stocker l’énergie sous forme d’air comprimé la nuit.

B) Animer des mobiles

Rappelons d’abord les principes de cette nouvelle technologie :

  • détendre à 100% dans des cellules motrices périphériques alimentées en parallèle
  • le volume prélevé dans un réservoir tampon est multiplié par l’apport de calories
  • les calories de la recompression sont récupérées pour compenser les frigories de la détente (voir les détails sur le site)

Il en résulte  que dans l’option la plus défavorable, la consommation d’énergie de chauffe n’est que de 60 g de butane par kw.h utilisé.
Conséquences…
A partir d’une consommation moyenne, disons que le kw.h des mobiles coûtera de  l’ordre de 0,1 euro mais que ce coût peut être réduit avec le solaire à l’amortissement..

A comparer avec le coût de production de l’électricité d’EDF :

  • environ 0,04 euro le kw.h,
  • celui de l’éolien off shore : environ 0,18 euro le kw.h
  • à la vente, EDF autour de 0,12 euro.

Dans les utilisations les plus courantes, la pollution est extrêmement faible, voire inexistante.
Les motorisations étant moins encombrantes et plus légères peuvent être montées à la place des motorisations conventionnelles.

Mais surtout, cette nouvelle technologie permet de concevoir des véhicules différents, plus légers, moins chers, plus écologiques, plus véloces, plus économes en carburant et en entretien (voir les changements de paradigmes sur le site).

Par exemple des scooters de mer qui ne cassent plus les oreilles, des hélicoptères au prix d’une voiture et qui ne consomment guère plus, des camions de même acabit, des sous marins de poche, des bateaux pêche-promenade grand public, des cargos avec des moteurs moins chers et plus économes, aussi pouvoir ré-utiliser autrement l’énergie musculaire (voir vélo, trottinette) ce qui ouvre des marchés nouveaux de proximité.

C) mettre au point d’autres utilisations

  • Remplacer les éoliennes par des venturis sur pivot,
  • concevoir d’autres utilisations pour les colonnes d’air chaud,
  • concevoir d’autres centrales solaires plus performantes,
  • mixer les critères pour de nouvelles utilisations à inventer,
  • faire des avions solaires performants, des bateaux, des dirigeables incomparablement plus performants etc…

Enfin, cerise sur le gâteau, en attendant qu’un groupe fabrique l’auto du futur, doter toutes les voitures électriques d’une autonomie et d’une puissance acceptable. (+ de 1000 km)

Comment le faire

Particuliers

Pour fabriquer sa propre électricité, son vélo avec assistance au pédalage, il faut pouvoir acheter une motorisation…
Or, jusqu’à présent, Equideus ne dispose que de prototypes !
Il est donc préférable d’attendre qu’un industriel développe une licence d’exploitation.

Ateliers, artisans, professionnels, freelances

Pour développer une autre activité c’est-à-dire fabriquer de façon suivie une des utilisations, cela vaut la peine, comme c’est abondamment expliqué dans le site, de passer un accord avec Equideus,
(Travailler à partir des prototypes qu’il fournira, voire d’utiliser son réseau de vente).

Industriels

Quelle que soit l’utilisation de cette nouvelle technologie, le plus rationnel c’est de contracter une option de licence. Ainsi à coût réduit et sans perte de temps, l’industriel fera tous les essais avant de passer au stade industriel.
En négociant un délai d’option, il ne prendra pas le risque de se faire doubler par un confrère.

Quelles pistes ?

  • fabriquer des kits pour équiper tous les vélos du monde
  • construire des gammes de vélos assistés : 2, 3 ou 4 roues
  • des gammes de voiturettes avec ou sans permis
  • des hélicos type mosquito
  • des ULM à pédale et avions à hélice
  • des scooters de mer et de montagne
  • des motorisations hors bord et in board

et tant d’autres choses pour lesquelles une motorisation légère, peu coûteuse, non polluante et d’un coût modéré d’exploitation permette de s’approprier un nouveau marché.
Par exemple, construire les autos qui succéderont à la voiture électrique…
des locomotives non électriques, donc autonomes…
des hélicoptères à très faible coût d’exploitation,
des motorisations de navires
etc…

Groupes financiers ou investisseurs étatiques

Bien que, comme nous venons de l’exposer nous réalisons ce programme à partir de la structure existante, nous nous posons la question : que pourrions nous faire avec plus de moyens ?
déposer des milliers de brevets à l’international que nous avons en tête
maîtriser le développement des pays émergents en leur cédant des motorisations pour qu’ils les adaptent eux-mêmes…
continuer nos recherches d’applications pour le plus grand profit de l’humanité.
Les bénéfices de notoriété pour un groupe industriel ou financier sont incommensurables. Les bénéfices financiers seraient à cette mesure…

Partager l’exploitation du dernier brevet

Ce dernier ne sera publié par l’INPI que vers juillet/août 2015… Or, comme la date de dépôt est de janvier 2014, nous n’avons que jusqu’à la fin décembre 2014 pour le déposer éventuellement à l’international.

Nous n’envisageons pas de couvrir tous les pays pour des questions évidentes de budget, c’est pourquoi nous proposons de partager les royalties sur tel pays  avec un sponsor qui voudra se charger du dépôt.

Que faut-il ?

  • Que l’investisseur donne des moyens au centre de Recherche et respecte le réseau en devenir
  • qu’il engrange les bénéfices, en reversant un pourcentage au réseau existant.

Ce que les gouvernements ou des ONG pourraient faire faire...

Promouvoir la production électrique sur les lieux d’utilisation

N. B.:En ne dépensant pas plus qu’un salaire de fonctionnaire, il serait facile de vérifier nos assertions et de faire un prototype pour en faire la démonstration

  • on pourrait faire l’électricité le jour avec le solaire, des panneaux ou concentrateurs paraboliques
  • la stocker sous forme d’air comprimé pour la délivrer aux heures de pointe par exemple…
    mais aussi la fabriquer jour et nuit en dépensant au plus une cinquantaine de grammes de butane (de gaz) par kw.heure utilisés.
  • La fabriquer sans dépenser, à partir d’une pompe à chaleur..

et quelques autres combinaisons…

Il serait relativement facile pour des politiques modernes de :

  • remplacer progressivement les productions obsolètes,
  • de faire des économies de lignes électriques et de pertes en ligne
  • en attendant ces très beaux jours, ils pourraient réduire la consommation de charbon par quatre des centrales existantes, en remplaçant seulement les turbines

Promouvoir les économies de carburant des mobiles

En ne dépensant pas plus que le prix d’une automobile la moins chère, il serait facile de construire un proto de démonstration et de le faire tester. Nous fournirions gratuitement les plans mécaniques…

Ce type de véhicule consommerait au plus de l’ordre d’une cinquantaine de grammes de gaz : butane, propane, gaz naturel etc… par kw.heure. On pourrait pour certains pays ne consommer que du bois, du charbon, ou des huiles puisqu’il ne s’agit que de réchauffer de l’air comprimé de la température ambiante à 300°C (l’apport de chauffage varie suivant la configuration autour de 800 joules seconde par kw.h utilisé).

N. B. : un politique, attentif ayant en tête ou en mains son bouquin de physique de seconde, est en puissance non seulement de comprendre comment ça marche, mais de trouver plein d’autres utilisations dont il serait trop long de parler ici.

Entrer en relation

  • le site est en préparation, le ou les mots de passe, isolent des items sur lesquels nous travaillons en mode « intranet »
  • mise à part la curiosité, tous nos interlocuteurs n’ont pas besoin d’y accéder…
  • en revanche, la plupart de nos interlocuteurs ont besoin d’accéder à des informations plus précises.
  • Pour cela, il faut se mettre au même niveau théorique ou technique

Afin d’entrer en relations constructives suivies, il convient que nos interlocuteurs se présentent comme nous le faisons nous même…